À l’image de ce que l’on peut observer « en temps normal » dans de nombreuses sociétés, il est une catégorie de citoyens que l’on oublie encore trop souvent dans les situations de crises : les personnes handicapées. Que leur handicap soit imputable à la crise en question ou qu’il préexiste à celle-ci, il doit pouvoir être pris en charge. Karl Blanchet et Myroslava Tataryn reviennent sur la question de la « réadaptation physique » en Haïti avant comme après le séisme de 2010.